C’est dangereux pour nous et pour la population…”
Ce constat amer, c’est celui du caporal Jean Louis Vanael, pompier volontaire a Sambreville depuis 1980. “Quand j’ai commence, etre pompier volontaire, c’etait une fierte ! On ne fera gui?re ce metier pour de l’argent, mais parce qu’on le sent, parce qu’on souhaite etre utile a la population. Avec Notre reforme des prestations de secours, on devra etre plus souvent et plus longtemps en caserne. Ici, a Sambreville, du reste. Parce que votre n’est pas comme ca partout. En outre, on a nombre plus d’heures de formation. Et ca se passe le week-end. Ca decourage pas mal de jeunes qui ne semblent plus aussi motives et ne veulent plus s’investir autant qu’avant.”